Samara •• Dance in the Dark

SAMARA EDEN ROCKWELL

Feat CINTIA DICKER

« Je suis maître de mon destin, capitaine de mon âme ;;

© Flesh Couture

■ the H.O.W.L.I.N.G. NOM • Rockwell PRÉNOM(S) • Samara.Eden AGE • 24 ans NAISSANCE LE • 22.05.1991 A • Colwyn Bay.Pays de Galle NATIONALITÉ • Galloise GROUPE • Staff RÔLE/MÉTIER • Psychiatre Adjointe

the seemingly, far from reality

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I'M GOOD ... Responsable Calme Observatrice Intelligente Rusée Ingénue

I'M BAD ... Colérique Violente Fière Détachée Rancunière Stratège

Devant celle qui c’est faite vengeresse assassine, nous sommes sans nul doute en présence d'une forte personnalité ! D'apparence froide et modérée, Samara en impose par son contrôle d'elle-même, sa rigueur et sa dignité. Ni influençable ni malléable, c'est une femme responsable, sérieuse, qui veut s'assumer seule, sans rien demander aux autres, fierté et orgueil obligent... Cette force et cette détermination la font souvent passer pour dure et insensible, mais dissimulent pourtant des doutes, des incertitudes, des peurs et une grande fragilité affective. Altière et sophistiquer jusqu’au bout des ongles, Samara semble ne jamais quitter son regard aiguisé, le sourire plein d’assurance. Elle est d’un calme et d’une patiente hors du commun, et c’est sans aucun doute le cas. Ainsi, elle écoute, observe, déduit, analyse et conclue avant d’agir, et ne parle que lorsqu’elle le croit inévitable. Elle semble sans cesse détachée par ce qui l’entour, et c’est un fait ! Sensuelle, respirant la grâce et la luxure, Sam’ ne semble pas touché par le quotidien. Car c'est aussi une personne qui à pour habitude de mener sa vie comme elle l’entend, sans ce soucier des conséquences ou de l’avis des autres. Samara à envie de cela ? Elle le prend. Elle désire ceci ? Elle l’obtient. Elle aime vivre au jour le jour, ne s’attache pas et fait preuve d’une grande ingéniosité lorsqu’il s’agit de se faire plaisir. Mais au-delà de cette apparence confiante et douce, il y a bien un opposé intransigeant. En réalité, elle bouillonne d’une grande impulsivité, et puisque Sam’ ne connait pas la demi-mesure elle passe sans peine du calme rieur à la colère froide, terrifiante et violente bien qu’elle ne s’emporte jamais dans des hurlements ou des insultes… C’est ce qui sans doute, la rend aussi effrayante. Son esprit est finement aiguisé, fait pour la ruse et la fourberie… Esprit stratège, rien ne semble jamais perturber le bon sens de ses pensées, et ses décisions son toujours un succès. C'est une ambitieuse capable de mobiliser son courage, sa force et son énergie pour aller dans le sens de ses désirs. Elle a souvent un bon jugement et possède des qualités pratiques. Son caractère est très emportée et l'on ne peut pas dire qu'elle cherche vraiment à plaire, bien au contraire, même si elle a un certain magnétisme. Ce qu'elle veut avant tout, c'est réussir dans la tâche qu’elle ces choisit, et punir les hommes qui le méritent. Et contrairement à ce que vous pourrez penser, c’est une très bonne psychiatre, qui sait écouter et garder son sang-froid. Sachant que malgré ses pulsions assassines, Sam’ à toute sa tête, et sait exactement ce que ses actes peuvent lui valoir… Qui à dit que les Psychiatres sont tous des dément dont l'idée fixe est de guérir d'autres déments ?

Si vous apercevez une grande jeune femme plutôt agréable à observer, à la chevelure flamboyante, vous pouvez être certain qu’il s’agit de Samara. Elle le sait, la chance d’être née avec un physique avantageux n’est pas donnée à tout le monde… Aussi prend-elle soin de gommer ses défauts. Car comme tout le monde, Sam’ en à ! Mais ça, c’est un secret bien gardé… Ce qui frappe ce n’est d’ailleurs pas sa beauté insolente, mais sa grâce, cette terrible délicatesse, ce port altier… Une démarche assurée et féline, mais aussi effrayante qu’une marche funèbre, voila ce que représente cette étrange psychiatre. Un dangereux éclat qui fascine, aussi hardi qu’inquiétant. Dérangeante ? Je vous l’accorde, car ce qu’elle dégage n’ai pas forcément plaisant, même si son magnétisme et son exotisme attire le regard et attise la curiosité. Et Samara sait charmer, captiver, mettre en valeur ses atouts et dissimuler ses défauts. Grande et mince, son corps est ferme et parfaitement sculpté, agrémenté de jolie forme. Sa peau à beau ne pas être très foncé, elle est légèrement halé, et parsemé de tâche de rousseur qui souligne son côté malicieuse. Sam’ possède un visage qui illustre le calme et la douceur dont elle peu faire preuve parfois. Un charmant petit minois doux et céleste, mais aux quelques traits froids ou rusé qui reflète aussi sa personnalité caché. Son visage est bien dessiné, aux pommettes hautes et aux sourires intrigants. Ses grands yeux sont d’un bleu lumineux, qui contraste joliment avec le roux éclatant de sa longue chevelure épaisse et soyeuse. Que dire de plus… Sam’ est une créature curieuse. Pas loin de la perfection, mais à l'opposé de la femme idéale en tout point. Repoussante ou attirante, difficile de se décider sur son cas.

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Née d’un père inconnu, Samara avait toujours vécut avec sa mère dans un jolie et doux petit appartement de Colwyn Bay. Elles se suffisaient à elles deux, complices et joyeuses. Si bien que jamais l’absence d’un père ne se fit sentir chez l’enfant. Il fallait dire que souvent, si le besoin la poussait à regretter son paternel, Samara savait que son oncle Abraham lui offrait autant d’amour et de tendresse qu’un père avec sa fille. C’était d’ailleurs, l’unique homme à bénéficier de l’affection de Sienna, sa petite sœur. Son oncle et sa mère était donc les deux figures parentales qu’elle prenait en considération, les deux seuls à la voir grandir d’année en année. D’aussi loin qu’elle se souvienne aujourd’hui, Samara vécut toujours une petite vie tranquille et sans tristesse. Ses journées étaient faites de jeux innocents, de rires, et de longues heures d’amusement en compagnie de Sienna. Une mère qui ne vivait que pour sa fille, et qui pourtant un jour, rencontra un homme qui sut la charmer. Samara n’eut jamais l’occasion de le rencontrer, ni même de connaitre son existence… Car très vite, le jeune homme dont s’était éprise Sienna ne manqua pas de la dépouiller de tous ses biens. Un escroc qui n’eut même pas la conscience de laisser une mère et sa fille dans le besoin… Quand à Sienna, elle ne comprit pas pourquoi après quelques mois de relations, elle s’était autant éprise, à en mourir… La souffrance de cette trahissons et de l’amour qu’elle éprouvait pour lui fit perdre toute raison à la jeune maman. Et après une semaine à espérer son retour, oubliant la charge et l’affection de sa jeune Samara, elle s’empara d’un flingue censé protéger sa famille et s’ôta la vie d’une seule et unique balle. Samara ne se remit jamais de la mort de sa mère, et encore moins de la vision qu’elle eut en la découvrant ainsi dans son sang, l’arme encore serrer dans sa main. Par chance, elle n’était pas seule, et même si elle le rejeta longtemps, c’est son oncle Abraham qui prit la vie de l’enfant en main. Il l’adopta, et par son autorité et sa dévotion, il parvint à calmer la douleur de la petite fille. Dire que la vie reprit son cours immédiatement serait mensonge, car il fallut des années à ces deux là pour se relever, et avancer de nouveau. Mais Samara savait malgré son jeune âge, pouvoir compter sur l’oncle qui tout de suite avait été là pour elle. Ainsi, les âges passèrent sur eux, et la douleur se fit moins vive. Samara eut beaucoup de mal à reprendre une vie normale. Blessure comme celle qui l’avait terrassé quand elle avait cinq ans était difficile à refermer. Mais elle y parvint, grâce au soutient de son oncle qui jamais devant elle ne montra sa tristesse. Pourtant, elle fut une excellente élève en classe, et une enfant à la personnalité juste et amusante. Elle n’avait pas de mal à plaire, et c’est par sa personnalité avenante qu’elle rencontra un jour une petite blondinette de son âge au drôle d’accent. Elle venait d’entrer à l’école primaire quand elle éprouva une fascination sans précédent pour Kaya Lockwood, Irlandaise et nouvelle dans l’école. La gamine venait d’ailleurs, comment ne pas vouloir sans cesse la questionner sur son pays ? Malgré l’agacement que Kaya ressentit à l’égare de la rousse bavarde et curieuse, elles devinrent toutes deux de très bonne amie. Et le temps passant, elles étaient inséparables. L’une n’arrivait jamais sans l’autre, les mêmes mots étaient prononcer en même temps tant leur complicité était sans faille et leur amitié fusionnelle. Se fut Kaya qui soigna les plaies de Samara, comme une grande sœur aurait pu le faire, toujours plus mature qu’elle dans tout ce qu’elle faisait ou pensait. Parfois, Samara avait l’impression d’être un fardeau pour une intelligence aussi vive et exigeante que celle de Kaya… Mais ni l’une ni l’autre ne pouvait se passer de sa sœur de cœur. Elles passèrent les années de l’enfance ensemble, franchissant l’adolescence côte à côte sans jamais se quitter du regard. Samara se réveilla à l’hôpital, et elle ne sut contenir ses larmes dès que le souvenir de la nuit lui revint. Mais à côté d’elle, Kaya se redressait déjà, une grimace de douleur sur son visage contusionné. Samara se perdit dans ses excuses… de ne pas l’avoir aidé, de ne pas avoir sut la protéger, de ne pas avoir pu réagir ou comprendre. Puis elle évanouie, la douleur de son crâne s’étant éveillé brutalement. A son réveille, elle fut terrifiée de voir Kaya sourire à ses parents, assurer qu’elle allait parfaitement bien et s’excuser platement de sa désobéissance. Et l’horreur s’étendit encore quand celle-ci lui fit promettre, les larmes dans la voix, de ne jamais révéler à personne ne qui s’était réellement passé. Les parents des deux jeunes filles crurent toujours à une agression de la part d’un groupe de jeunes délinquantes, et Kaya joua toujours parfaitement le jeu. Tout le monde ignora toujours sa souillure, celle qui lui coupait le souffle dans des sanglots interminable quand elle était seule… La présence de Samara devint bien vite trop douloureux, et à peine deux mois après leur sortit de l’hôpital, Kaya coupa tout contact avec la rouquine. Une épreuve de plus qui fit perdre le nord à Samara. Le chagrin la fit céder, et elle tomba malade de tristesse, refusant de s’alimenter. Surtout quand peu de temps après, elle apprit le déménagement de la famille de Kaya… C’était définitif, elle ne la reverrait plus jamais… plus jamais. L’ombre d’elle-même continua à faire comme si tout allait bien, à garder le secret de Kaya sans jamais être tenté d’en parler. Le temps sembla bien plus long, bien moins attrayant. Testant ses limites, Samara s’enticha de nombreux garçons et filles, sans jamais éprouver de l’affection pour eux. Une vie morne, qui ne reprenait pas de couleur et qui désespérait d’être plus joyeuse. Mais comment, après tout cela, pouvait elle être jamais heureuse ? Toujours brillante en étude, elle passa ses examens avec aisance, se dirigeant sans réfléchir vers les options qu’on lui désignait. Elle s’inscrivit ensuite en faculté de psychologie à Cardiff, sans vraiment d’ambition mais toujours avec sérieux. C’est d’ailleurs dans cet établissement, qu’elle revint enfin à la vie. Le souvenir délectable de cette mort lui rendit sa joie et son envie de dévorer la vie. Elle se lia d’amitié de nouveau, sincèrement, et prenait réellement plaisir à sortir, à vivre, à respirer… après des années en apnée. Elle savait pertinemment que venger les femmes qui avait été abusé ne leur rendrait pas leur vie d’avant, ne les soulageraient peut être même pas. A vrai dire, cette envie qu’elle avait, Samara la savait égoïste. C’était un moyen de prendre sa revanche sur l’homme de la nuit, et de rendre hommage à Kaya. Elle n’eut de cesse depuis lors d’observer, d’écouter dans les bars et les discothèques, dans les rues jusque tard dans la nuit. De temps à autre, elle assistait à la fuite désespérée d’une femme ou à des aveux confiés entre deux sanglots. C’était là qu’elle entrait en action, et toujours la vengeance se clôturait par un trépas, brillement orchestré après quelques heures de tourmente physique et psychologique. Plus elle assassinait, plus elle avait la certitude que là était sa place, et plus elle devenait accro à la « chasse ». Au fond, n’était elle pas une héroïne de débarrasser le monde des dangers qui guettent les femmes ? Les années passèrent, et ses victimes furent multipliées. Vive et rusée, elle était même parvenue à quelques reprises à se faire aimer d’un policier pour accéder à des dossiers dont elle se servait pour agir ensuite celons ses principes. Dans l’ombre des rues de Cardiff, se forma alors la rumeur d’un tueur en série, dont on ne distinguait pas bien l’obsession tant les meurtres n’avaient aucun rapport. Seul le S. tracer avec le sang des victimes, agrémentées du message « Briser une vie condamne la tienne » reliait les meurtres entre eux. Ringard comme message ? Certes, mais il était clair, ce qui était son but. C’est lors d’une visite de son oncle qu’elle dut avoir quelques maladresses qu’elle ne soupçonna pas, car bien vite Abraham se rendit compte de ses agissements. Des doutes qui bien vite devinrent une conviction, mais qu’il garda pour lui dans l’angoisse que la police du régime dictatorial ne lui tombe dessus. Lui, travaillait depuis quelques temps à Scilly, et savait très bien le sort qui était réservé à aux personnes dont les actes n’étaient pas nommés « criminels », mais « impure » dans cette société qui se voulait parfaite. Samara ignora toujours que son oncle savait… Aussi quand il lui proposa un poste sur l’Ile alors qu’elle n’avait obtenue qu’un diplôme de base, Samara prit la confiance qu’il lui offrait comme une chance inespérée. Et c’était bien le cas ! Qui d’aussi jeune et inexpérimenté qu’elle pouvait prétendre à un poste de psychiatre adjointe dans un établissement de cette envergure ? Son avenir et sa réussite était alors toute tracer. Mais au-delà de ça, elle frémissait à l’idée de pouvoir se servir de sa place de choix pour traquer sans vergogne les êtres indignes d’être encore en vie, même dans l’enfer de Scilly… et de les supprimer dans craintes. A présent, Samara ne compte plus les fois où elle à été confrontée aux malheurs, car sur cette Ile, c’est un quotidien qu’il faut savoir gérer. Mais le malheur de l’Ile n’est rien opposé à celui qu’elle fait subir en secret à des dizaines d’hommes envoyé ici pour meurtres, viols, violences sur des femmes… Et ce qui est certain, c’est que cette réserve ne se tarira sans doute jamais.

you, behind the screan

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PRÉNOM/PSEUDO • Appelez-moi Machin
AGE • 20 ans
TAUX DE PRÉSENCE • 6/7
NIVEAU DE RP • Je dirais bon (enfin j'espère) XD

UN AVIS SUR LE FO' • Comment dire... sans paraitre trop modeste, à quel point il est parfait ?! XD
POURQUOI CE PERSO' • Parce que c'est comme ça !

DITES-LE MAINTENANT OU JAMAIS • MWHAHAHA !! On est des pros. *o*
SIGNATURE DU RÈGLEMENT •


Citation :

'Samara E. Rockwell', alias 'Sarah' déclare avoir pris connaissance du règlement et s'engage à le respecter tout au long du jeu sur Deathly Dementia

Ben ouais, normal que je vienne faire un tour sur ta préso pas vrai. Et devine quoi... J'ai trouvé une faute !
Nous sommes en 2015 et non en 2010 donc tu n'es pas née en 1986 mais en... je te laisse faire le calcul ? Bon allez, en 1991

Arg ! Effectivement ça craint !! =)
Merci ma poule, tu sauve mon honneur d’admin ! HAHA

J'avais fait la même bourde, il a fallu que je relise le contexte pour m'en rendre compte