k a y a ▬ Never-ending story. » (u. c.)

KAYA MELISSANDRE LOCKWOOD

Feat Natalia Vodaniova

« Le suicide, ce n'est pas vouloir mourir, c'est vouloir disparaître : c'est la seule preuve de la liberté de l'homme ;;

Lux Aeterna

■ the H.O.W.L.I.N.G. NOM • Lockwood. PRÉNOM(S) • Kaya, Mélissandre. AGE • 24 ans. NAISSANCE LE • 24 février 1991. A • Collinstown, Irlande. NATIONALITÉ • Irlandaise. GROUPE • Bloc A | They say I'm crazy. RAISON DE VOTRE PRÉSENCE • Multiples tentatives de suicide causée par son androphobie, soit sa peur des hommes.

the seemingly, far from reality

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I'M GOOD ... Douce Réservée Rêveuse Calme Attentive Magnétique Honnête Pudique

I'M BAD ... Naïve Craintive Dépressive Silencieuse Angoissée Négative Fragile Émotive

La victime parfaite.

Voilà exactement ce que l'on peut voir derrière le sourire timide de la jeune femme, derrière sa frange trop longue et ses regards en coin. A vrai dire, la seule habitude de frôler les murs en baissant la tête dans l'unique espoir de se faire oublier est un signe en soi : la discrétion, pièce maîtresse de son caractère, est presque aussi poussée que le mutisme dans lequel elle se maintient. Pas qu'elle soit idiote et n'ait rien à dire, bien au contraire, mais sa timidité maladive et sa peur des gens, en particulier des hommes, en viennent généralement à masquer toutes les qualités qu'elle pourrait éventuellement avoir. Passant sa vie plongée dans les livres lorsqu'elle ne tente pas vainement de se cacher de quelqu'un, Kaya est vraiment quelqu'un qui passe inaperçu, ou presque. En effet, extrêmement maladroite, elle semble avoir le don de se fourrer dans les situations les plus catastrophiques, bien que cette malchance ne semble tourner qu'autour d'elle, l'empêchant souvent d'arriver à mettre un pied devant l'autre sans rien faire tomber, ou sans tomber elle-même. A se demander, parfois, ce qu'elle peut bien faire enfermée à Scilly, même si cette question disparaît en général dès qu'elle est mise en présence d'un membre de la gent masculine, son côté enfantin et craintif la transformant instantanément en petite souris soumise. En vérité, il serait simple de comprendre le caractère de la jolie Irlandaise avec ses regards plongés dans des rêves inatteignables : C'est une grande romantique, un peu fleur bleue, qui a prit le parti de se plonger dans un monde bien différent pour échapper à l'horreur de ce qu'elle a vécu, préférant de loin les histoires et les mensonges à la vérité. Émotive, sensible, particulièrement observatrice, son regard sur ce qui l'entoure est de loin différent de celui de bien des gens, en particulier ici. Plus aigu, bien que voilé d'une certaine nostalgie, elle qui préfère largement l'utopie à la réalité et passe son temps à pleurer, en silence, dans le secret de la nuit. Mais comment les éviter dans un monde qui ne semble vivre que par ça, pour ça, pour les considérations qui en découlent, cette soif de sang permanente ?

Il est un fait qu'à ce stade, on peut bien parler de vulnérabilité, de fragilité face à la laideur du monde, mais également face aux actes du quotidien. Aujourd'hui incapable de sourire, aux observateurs aguerrit il est facile de remarquer qu'il suffirait sans doute d'une unique goutte pour faire déborder le vase, pour que sa tristesse s'extériorise. Mais la demoiselle ne tient pas à ce que l'on s'inquiète pour elle, et sans doute est-ce la raison de cette discrète mascarade, la même qu'elle a tenu autrefois à ses propres parents. Elle est après tout tellement facile à manipuler, totalement incapable de dire non, allant jusqu'à se laisser marcher sur les pieds sans oser dire le moindre mot qu'elle en ferait presque pitié si elle n'était aussi adorable avec tout un chacun, même les pires. Se battre pour ses idées et son envie de liberté ? Il est difficile de l'imaginer faire ça tant elle reste semblable à un petit oiseau enfermé dans une cage dorée, incapable de chanter malgré les années. D'un autre côté, elle est assez naïve pour que personne n'ait besoin de la mener sur son propre chemin. A ses yeux, un mensonge n'en aura pas l'air. A vrai dire, le mensonge existe à peine dans sa conception du monde, et sa vision innocente la pousse à croire fermement que personne ne pourrait être assez malintentionné que pour mentir délibérément sans une bonne raison, ce qui ne l'empêche pas d'en faire autant pour protéger ceux qu'elle aime. Une tendance à vouloir voir le bien partout, là où tout en elle lui rappelle que la vie n'est pas aussi rose. Mais qu'est-ce qu'une 'envie' ? C'est de loin son pessimisme qui gagne, la plongeant de plus en plus dans sa dépression, ne lui laissant comme dernière barrière que des lambeaux d'espoir.

Pour autant, ces dernières années l'ont malgré tout transformée de manière notable, et c'est en femme détruite et peureuse qu'elle s'est changée. Un peu torturée, devenue aussi misandrie qu'elle est androphobe à cause de ses précédentes expériences, elle ne manque jamais d'intriguer les hommes qui tentent de l'approcher bien qu'elle ne manifeste à leur égard que peur et dégoût et elle passe beaucoup de son temps en solitaire. A pleurer, parfois. A crier, souvent. A tenter d'échapper aux images qui envahissent son esprit en permanence, entre les visions de sa torture et celle de son passé, quand tout allait encore bien, et ce n'est vraiment que lorsqu'elle n'en a plus le choix qu'elle se décide à sortir de son ermitage, s'esquivant malgré tout aux regards, devenue incapable de donner sincèrement sa confiance aux gens. Plus que jamais, la belle évolue dans un monde entre enfance et âge adulte, entre fragilité et force, douceur et sensualité, ange et démon, amour et vengeance. Un monde perdu, dans lequel elle-même ne sait plus qui elle est exactement, tentant régulièrement de disparaître... Définitivement.

Petite fleur résistant dans un jardin recouvert d'un linceul de neige, la première impression que donne la jeune femme est d'être fragile, probablement beaucoup trop pour le monde dans lequel elle évolue. Il faut admettre qu'à la regarder, elle n'est pas bien grande, et que la finesse de ses membres comme de ses formes généreuses lui offre l'apanage de sembler beaucoup plus jeune qu'elle ne l'est réellement. Mais qu'à cela ne tienne ! En vérité, elle ne s'en soucie guère, comme le prouvent ses vêtements simples et la chevelure qu'elle laisse presque perpétuellement retomber sur son visage à l'ovale aussi lisse que celui d'une petite fille. Pourtant, à qui eut la chance de l'observer, la jeune femme est loin de faire partie des plus laides, et on aurait beaucoup de mal à la qualifier de banale tant son apparence semble éloignée des canons de beauté habituels.

La première chose que l'on peut voir sans se soucier d'être discret ou non est la peau de l'Irlandaise, qui ne manque pas souvent de choquer - Elle est pâle, d'une pâleur proche de celle des cadavres qu'elle tente vainement de rejoindre tout au long de ses journées. Certes, ne nions pas, ce serait idiot de se contenter d'une comparaison aussi peu flatteuse, mais il est bien rare de pouvoir baser sa comparaison sur le rose délicat de ses joues afin de comprendre qu'au soleil ce satin peut vite se retrouver à ne plus rougir face au nacre d'une perle, et encore moins à la lueur nostalgique d'une pleine lune. De fait, il semblerait que Kaya n'ait pas beaucoup connu la morsure de l'astre solaire durant sa vie, ce qui lui offre un charme tout particulier, une illusion d'innocence perdue, de la pureté que contient sa blancheur. Mais là n'est pas son unique intérêt, et de grands yeux déjà s'écarquillent vers vous, d'un bleu comparable à celui du ciel habité de paillettes d'or, laissant revivre durant le bref instant d'un battement de cils la douce chaleur d'une journée d'été. Un regard de biche, sinon qu'il se montre beaucoup moins sombre, quoique tout aussi expressif, mouillés à la naissance d'une larme, envahis de mille questions qui ne semblent jamais pouvoir trouver de réponses. Ces derniers sont rehaussés, d'une forme d'amande discrète, de longs cils noirs, qui semblent accentuer cette mer d'un unique mystère, d'un trésor perdu au fond de l'eau, telle une cité engloutie depuis des siècles. Enfin vient un sourire, illuminant tout le visage enfantin de la jeune femme, étirant la ligne tentatrice de ses petites lèvres pulpeuses couleur framboise, sans doute aussi sucrées que le fruit visé, mais à jamais interdites. Tout s'exprime dans ce sourire, du pardon à la moue boudeuse amenée par une réflexion, et quiconque y goûte désire le voir renaître une fois de plus, quand tant de tristesse pourtant marque ces traits angéliques. Cascadant autour de ce visage, la chevelure légère semble elle-même créée à partir de fils d'or fin, douce au toucher, déplacée en caresses rassurantes lorsque vient souffler la brise, renforçant cette sensation d'avoir trouvé la représentation même de la douceur sur terre. Toutefois, les lâcher serait bien trop inconvenant, et souvent la blonde cache-t-elle ses cheveux en de lourds chignons sous un voile d'une teinte beaucoup moins remarquable, afin de ne pas attirer trop d'attention sur elle.

Car en effet, si tout voudrait rendre la demoiselle agréable à l'œil, une forme de souffrance semble vouloir ternir ce qu'elle pourrait offrir, éternelle image d'un souvenir déjà effacé. Car le visage semble fatigué, et au-dessus du nez mutin, au centre d'un large front entouré de quelques mèches dorées, se forme déjà de petites rides d'inquiétude. Car le temps n'est pas au badinage, et la mort ne prête pas à sourire bien longtemps. Quant à la mélodie de sa voix, voilà bien une chose presque totalement inconnue, autant des autres que d'elle-même... Car le silence est son maître, quand la mort est sa mère. Pourtant, cette dernière ne dénote pas de son apparence gracile : Mélodieuse, toujours proche du murmure, elle caresse et se faufile, se montre sensuelle du haut du charmant accent Irlandais qu'elle possède encore. Ainsi se montre la demoiselle, toujours soigneusement masquée par ses rares apparats, le regard baissé afin de ne pas risquer de croiser un regard, les mains croisées devant elle afin de ne rien toucher. Rien d'inconvenant, sinon d'avoir l'air d'une ombre. Car telle est la seule image que l'on retient de la jeune femme : Une ombre qui passe, tel le lambeau du rêve lorsque le dormeur s'éveille, et que l'on oublie aussitôt.

La perfection faite femme ? Sans doute les choses auraient-elles put en être ainsi, si la blonde n'était couverte de cicatrice de la tête aux pieds, sans exagérer. Ses bras tout comme ses jambes en sont, par exemple, couverts. Une large brûlure cicatrisée parcourt également une bonne partie de son dos, qu'elle s'applique aujourd'hui à cacher au maximum, et si grâce à de bons soins son front est presque aussi lisse qu'une peau de bébé, on peut aisément y distinguer une large cicatrice, beaucoup plus vieille. Certaines mutilations étant encore récentes, l'Irlandaise porte en permanence des bandages autour des avant-bras, qu'elle ne peut s'empêcher de triturer dès que quelque chose la stresse, c'est-à-dire souvent, au point de provoquer de nouveaux saignements.

you're a part of this story

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Quand, rêvant de la morte et du boudoir absent, je me sens tenaillée des fatigues physiques, assise au fauteuil noir, près de mon chat persan, j'aime à m'inoculer de bizarres musiques, sous les lustres dont les étoiles vont versant leur sympathie au deuil des rêves léthargiques. Il était une fois. Toutes les histoires commencent comme ça. De la même façon, toutes terminent par : Et ils vécurent heureux. Enfants en option, c'est selon. Pourtant, il serait étrange, voir déplacé, de commencer l'histoire dde Kaya de cette façon. Beaucoup trop joyeuse. Présageant trop de bonnes choses. Ce serait trop facile si la vie n'était qu'un long fleuve tranquille, n'est-ce pas ? Pour autant, on ne peut nier qu'un fil semble guider les gens le long d'un chemin inconnu. Destin ? Hasard ? Questionnement inutile. Il suffit de savoir qu'on avance, et le principal est déjà là. Ne pas s'arrêter. Voilà ce qui importe vraiment.

you, behind the screan

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PRÉNOM/PSEUDO • Alice. ♥
AGE • 19 ans, plus pour très longtemps.
TAUX DE PRÉSENCE • 6/7.
NIVEAU DE RP • Bon. Je crois, en tout cas, en atteignant les 2000 mots (plus de 100 lignes) très facilement. :p

UN AVIS SUR LE FO' • Tout joli ! Et assez original, avec beaucoup de PVs attrayants. Que du bon. *O*
POURQUOI CE PERSO' • Pourquoi Kaya plutôt qu'une autre ? Mhh... C'est exactement le genre de personnage que j'adore jouer, et vu l'univers, ça lui promet une belle histoire au pays des cauchemars. Pourtant Dieu sait que j'ai hésité à cause de Kristen /pas fan/ mais elle a gagné, c'était trop tentant. Et puis, point positif, Samara ne pouvait qu'être là. :p

DITES-LE MAINTENANT OU JAMAIS • Je préfère me taire à jamais ! ... Ou alors, gueuler dans tous les sens que j'aime le nutella et les raisins, et que je suis du genre très bisounours donc que je veux des câlins ? XD
SIGNATURE DU RÈGLEMENT •


Citation :

'Kaya M. Lockwood', alias 'Alice' déclare avoir pris connaissance du règlement et s'engage à le respecter tout au long du jeu sur Deathly Dementia.

Citation :

Pourquoi Kaya plutôt qu'une autre ? Mhh... C'est exactement le genre de personnage que j'adore jouer, et vu l'univers, ça lui promet une belle histoire au pays des cauchemars. Pourtant Dieu sait que j'ai hésité à cause de Kristen /pas fan/ mais elle a gagné, c'était trop tentant. Et puis, point positif, Samara ne pouvait qu'être là. :p

En effet, les hurlements en moins, l'engouement reste agréable... Et moins stressant pour mes pauvres petites oreilles. /sbaff/

Petite Kaya... Tu permets, on a le même âge ! /re-sbaff/ Plus sérieusement, je suis vraiment heureuse (et soulagée) que le caractère te plaise. J'avais tellement peur de ne pas aller dans tes attentes. xD Techniquement je pense que ça devrait aller assez facilement, et assez vite, pour ce qu'il me reste (soit l'histoire), pareillement niveau longueur, avec la nouvelle réforme de forumactif qui accorde 20 pages word dans un seul message, je devrais m'en sortir. :p Tiens si, en y pensant, petite question malgré tout : Le viol de Kaya s'est déroulé à quel âge ?

Sinon, tu m'autorises à modifier l'avatar ? Oh, je t'aime déjà *O* Mais je vais rester avec Kristen, ça ira, j'ai trouvé quelques images qui me plaisaient, et vu que la seule chose qui me dérange chez elle est son nez, ça devrait faire l'affaire. Sauf si, par hasard, Natalia Vodianova pouvait être susceptible de te plaire ? Ou encore Doutzen Kroes ? *O*

Ouha ! Natalia ♥
J'te bienvenute !